Violence sexuelle à Port-au-Prince : Une arme utilisée par les gangs pourrépandre la peur
Ce rapport, publié conjointement par le Bureau intégré des Nations unies en Haïti (BINUH) et le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme (HCDH), montre comment des gangs armés utilisent le viol, y compris le viol collectif, et d'autres formes de violences sexuelles pour répandre la peur, punir, soumettre et faire souffrir les populations locales dans le but ultime d'étendre leurs zones d'influence, dans toute la métropole de Portau-Prince. En août 2022, près d’1,5 million des habitants de Port-au-Prince vivraient dans des zones sous le contrôle ou l'influence des gangs.